La ville aux 24 ponts
Installation en terre auto-durcissante peinte à l’acrylique.
Édition de 56 pages, imprimée sur du papier Arena Bulk 140g/m2, couverture imprimée en sérigraphie en trois couleurs.
Projet réalisé avec la classe de CM1 de l’école Gustave Caillebotte de Gennevilliers (Haut-de-Seine) dans le cadre d’une résidence AIMS (artiste intervenante en milieu scolaire) soutenu par le ministère de la Culture, la Fondation Culture & Diversité et les villes de Saint-Ouen et de Gennevilliers.
Avec les CM1, je souhaite aussi partir en voyage. Comment s’y prendre pour céer un récit collectif avec un groupe d’enfants? Que cela leur apporte-t-ils d’un point de vue pédagogique? Quelles ouvertures cette œuvre collective peut-elle apporter à ma pratique ?
Cette œuvre collective permettrait de fédérer la classe autour d’une ambition commune et produirait l’espace pour que chacun s’y épanouisse. Mais comment créer collectivement au sein d’une classe? Quel(s) espace(s) imaginer pour repousser les limites du cadre scolaire et accueillir un climat d’ébullition ?
La ville aux 24 ponts tente de répondre à ces questions à travers une suite d’expériences pédagogiques destinées aux enfants : changements de point de vue, travaux d’observation, mise en commun des imaginaire, démocratie dans la classe, histoires à partager, enquêtes historiques, prises de parole...
Installation en terre auto-durcissante peinte à l’acrylique.
Édition de 56 pages, imprimée sur du papier Arena Bulk 140g/m2, couverture imprimée en sérigraphie en trois couleurs.
Projet réalisé avec la classe de CM1 de l’école Gustave Caillebotte de Gennevilliers (Haut-de-Seine) dans le cadre d’une résidence AIMS (artiste intervenante en milieu scolaire) soutenu par le ministère de la Culture, la Fondation Culture & Diversité et les villes de Saint-Ouen et de Gennevilliers.
Avec les CM1, je souhaite aussi partir en voyage. Comment s’y prendre pour céer un récit collectif avec un groupe d’enfants? Que cela leur apporte-t-ils d’un point de vue pédagogique? Quelles ouvertures cette œuvre collective peut-elle apporter à ma pratique ?
Cette œuvre collective permettrait de fédérer la classe autour d’une ambition commune et produirait l’espace pour que chacun s’y épanouisse. Mais comment créer collectivement au sein d’une classe? Quel(s) espace(s) imaginer pour repousser les limites du cadre scolaire et accueillir un climat d’ébullition ?
La ville aux 24 ponts tente de répondre à ces questions à travers une suite d’expériences pédagogiques destinées aux enfants : changements de point de vue, travaux d’observation, mise en commun des imaginaire, démocratie dans la classe, histoires à partager, enquêtes historiques, prises de parole...
